Patrick : Indemnités journalières pour boucher

Assurance en cas d’arrêt maladie

 

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A première vue le métier de boucher ne fait pas beaucoup rêver et pour cause, on entend très souvent les petits enfants dire à leurs parents que plus tard ils voudraient être pompier, hôtesse de l’air ou encore informaticien mais très rarement boucher ou charcutier. Non, le métier n’a pas une image très glamour et pourtant il offre de très nombreuses perspectives.

Les métiers de bouche, une passion


Patrick, 35 ans a découvert le métier grâce à un ami de son père qui lui ventait les bienfaits de la viande. C’est plutôt drôle quand on sait que Patrick était jusqu’alors végétarien et il l’est encore. Ce qui l’a réellement poussé à sauter le pas c’est lorsqu’il s’est rendu compte que les gens mangeaient très mal et qu’on ne leur vendait pas toujours des produits de qualité. Patrick dit que le métier évolue, que de plus en plus de jeunes mais aussi des femmes se lancent. Les regards changent et c’est tant mieux, nous avoue t-il. Pour reprendre le bail de la boucherie de son quartier, Patrick a fait un emprunt bancaire et compte bien le rembourser le plus rapidement en proposant de la viande de qualité avec un service irréprochable. Quand on lui parle de comment il s’y prendrait si les affaires ne tournaient mal et bien il répond simplement qu’il est prévoyant et à tout prévu. En fait, Patrick a pris une assurance perte d’exploitation contre la baisse de son chiffre d’affaire en cas de sinistre. En tant que commerçant, il a également souscrit une assurance indemnités journalières pour boucher charcutier en cas d’arrêt de travail. Face à la maladie et à l’accident, il existe différents type de contrats comme par exemple la mutuelle santé, le contrat garantie accident de la vie (GAV) et la prévoyance assurance perte de salaire pour boucher et autres métiers du commerce. Patrick est un homme consciencieux il sait que son métier n’est pas des plus facile c’est pour cette raison qu’il se forme en permanence. Il connaît parfaitement les normes d’hygiène et impératif du respect de la chaine du froid. Il dit qu’être boucher c’est un peu comme être médecin ou chirurgien. Pour lui, l’animal n’est pas seulement un morceau de viande mais une vie qu’on a ôtée. Il faut connaître l’anatomie des animaux qu’on découpe pour que la coupe soit parfaite. Ce n’est pas un métier de barbares mais bel et bien une séance de dissection anatomique. Pour être boucher il faut suivre une formation solide et décrocher un diplôme. Les métiers de bouche sont beaucoup plus techniques qu’on ne le croit et grâce aux émissions culinaires qui passent en boucle à la télé les gens s’en rendent compte. Patrick est aussi conseiller puisqu’il aide ses clients a faire leur choix. Il connaît le goût, la texture et la qualité de ses produits. Chaque client est unique alors il faut lui trouver la meilleure viande possible, de la viande fraîche.

Boucher et charcutier,  le même contrat indemnités journalières

Pour Patrick, c’est un métier de passionné qui n’est pas à la portée de tous. Le boucher doit aussi avoir une bonne condition physique parce qu’il doit porter des morceaux et des carcasses de viande. Ensuite, il les stocke, les coupe et les prépare pour les vendre dans sa boucherie ou les proposer aux supermarchés. Comme nous l’avons dit plus haut, il faut avoir une bonne santé et c’est aussi pour cela que prendre une assurance indemnités journalières pour charcutier et boucher est une sage décision. La prévoyance maintien de salaire pour boucher permet de garantir le versement d’un complément de salaire en cas d’arrêt maladie ou en cas d’accident. Patrick est visiblement un boucher heureux et il le clame tout haut.

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